[DOWNLOAD] "Pratiques Cliniques Preventives Et Besoins Pour Leur Integration Chez Des Medecins D'un Centre Hospitalier Universitaire a Montreal (Recherche Quantitative) (Case Study)" by Canadian Journal of Public Health # eBook PDF Kindle ePub Free
eBook details
- Title: Pratiques Cliniques Preventives Et Besoins Pour Leur Integration Chez Des Medecins D'un Centre Hospitalier Universitaire a Montreal (Recherche Quantitative) (Case Study)
- Author : Canadian Journal of Public Health
- Release Date : January 01, 2010
- Genre: Law,Books,Professional & Technical,
- Pages : * pages
- Size : 324 KB
Description
Une meilleure integration des pratiques cliniques preventives (PCP) (a) dans la pratique medicale permettrait de reduire la morbidite et la mortalite liees a certaines maladies evitables (1). Pour soutenir cette integration, des guides de PCP ont ete developpes par le Groupe d'etude canadien sur les soins de sante preventifs (GECSSP) et par l'U.S. Preventive Services Task Force (USPSTF). Cependant, plusieurs etudes indiquent que l'integration souhaitee demeure encore difficile. Parmi les barrieres, le manque de temps est souvent identifie comme etant un obstacle majeur, auquel s'ajoutent d'autres facteurs propres au clinicien, a l'environnement de pratique ou aux PCP elles-memes (2-6). Par rapport aux adultes americains qui refoivent en moyenne 55 % des soins preventifs relies aux principales maladies, causes de mortalite et de consultation (7), les medecins generalistes de l'Ontario appliquent a leurs patients dans une proportion de 65 % les recommandations de categorie A du GECSSP et seulement dans 31 % celles de categorie B (8). En Colombie-Britannique, les medecins de famille realisent le depistage du cancer du sein et du col uterin ainsi que le counselling anti-tabac dans 90 % des cas (9). Au Quebec, les habitudes de vie sont abordees par les generalistes dans seulement 10 a 37 % des visites medicales, en particulier chez des patients deja atteints de maladies chroniques ou de facteurs de risque associes (10). Pour les medecins specialistes, peu de donnees sont disponibles.